Hola hola,
Lorsque j'écris ces lignes : je suis en vacances. Cela faisait quelques années maintenant que je n'étais plus partie comme ça, j'ai eu ce sentiment un peu de juste débrancher mon cerveau et de visiter des endroits que je ne reverrai plus jamais après une fois partie. Et ça ma fait encore une fois penser a des jeux qui m'ont marqué et que plus jamais je n'aurai ce frison que j'ai ressenti dans ce monde dans lequel j'ai pu passer des heures et que j'ai pu laisser derrière moi en me disant "je ne fais plus parti de ce monde".
Je ne sais pas si je suis clair quand je dis ça, mais vous voyez ces monde qui n'ont plus jamais cette même saveur après y avoir rejouer et quand on arrive a la fin, on sait que ce monde n'a plus besoin de nous. Si tenté qu'ils avaient besoin de nous. Je vous ai trouvé trois jeux qui m'ont marqué dans ce sens.
1 - The legend of Zelda : Wind Waker
Cela faisait assez longtemps que je voulais vous parler de ce Zelda en particulier. Ce Zelda est le premier que j'ai réussi a finir du haut de mes 6 ans. On se retrouve donc en étant juste un garçon, qui a la base voulait sauver sa soeur kidnapper, à sauver le monde du retour d'un méchant iconique de la licence : Ganondorf. Et je me souviens comme si c'était hier de juste la première fois que j'ai navigué seule sur cette mer, en voulant chercher tout les secrets de ce monde qui m'étais inconnu. Et donc, après avoir réussi a compléter toute la carte, avoir réussi a résoudre ce mystère du bateau fantôme, avoir sauver ma soeur, après avoir eu tout les trésors que ce monde, la fin conclue très bien l'histoire pour nous dire un adieu final. Ce monde du passé qu'on a longuement entendu parlé et défendue coute que coute n'est plus, faut se tourner vers l'avenir.
2 - Professeur Layton et l'étrange village
J'avais fais le jeu a l'époque avec mon père. Pour ceux qui ne connaissent pas les professeurs Layton : il s'agit d'une licence ou on soit le Professeur Layton (et sa fille dans "l'aventure Layton : Katrielle et la conspiration des millionnaires") et tu résous des énigmes pour avancer dans le jeu et en apprendre plus sur l'aventure. J'avoue que je suis une mauvaise fan de cette licence je n'ai fait que 2 jeux en tout. Et j'avais envie de m'attarder sur le premier.
L'histoire commence sur une lettre envoyé par la femme du baron pour expliquer que son mari que quiconque trouvant la "pomme d'or", son bien le plus précieux, héritera de toute sa fortune. Et tu apprends a connaître les personnages, a s'attacher a eux jusqu'au twist final : la pomme d'or et la fille du baron. (en référence a sa tache de naissance) Et nous apprenons la vérité sur le village que nous avons parcourus des heures : il ne s'agit juste qu'une illusion et des automates. Si Layton et Luke prennent l'or du baron, le village n'existe plus.
Le jeu se fini sur Luke et Layton qui ne prennent pas le trésor et préfèrent que Flora vive la ou elle a toujours vécu quitte a la laisser dans une illusion. Mais, nous ne pouvons plus resté a Saint mystère sans voir l'illusion, a savoir que toutes ces personnes qu'on a apprécier ne sont que des Android et on aura juste plus la même vision sur tout le monde.
3 - Shadow of the Colossus
Je crois que c'est pour ce jeu en particulier que j'ai écrit cet article. Shadow of the Colossus.
Je pense que s’il y a bien un jeu qui m’a laissé ce goût un peu amer de « je ne fais plus partie de ce monde », c’est Shadow of the Colossus. Dans ce jeu, tu n’as rien. Pas de village, pas d’alliés, juste ton cheval, une épée, un arc, et cette terre vide, immense, presque figée dans le temps. Et ton seul objectif, c’est de terrasser des colosses, un par un, dans l’espoir de ramener une fille à la vie. On te donne ça comme mission, sans vraiment t’expliquer les conséquences. Et tu y vas. Parce que t’as que ça à faire. Parce que c’est beau. Parce que t’y crois.
Et à chaque colosse que tu bats, y’a un truc qui pèse un peu plus lourd. Tu le ressens dans la musique, dans les silences, dans les mouvements de ton cheval quand il hésite. C’est pas une victoire. C’est juste... un pas de plus vers quelque chose que tu comprends pas encore.
Puis à la fin, quand t’as tout fait, que t’as vu ces créatures tomber une à une, t’as ce moment de silence. Ce moment où tu sais que t’as fini, mais que t’as peut-être tout gâché. Et le monde, celui que t’as traversé des heures durant, ben il se referme sur lui-même. Et toi, t’en sors. Mais pas vraiment entier.
Je sais que je peux y rejouer. Mais ce frisson-là, ce tout premier voyage dans cet endroit si vide et si vivant à la fois, je le retrouverai plus jamais. Et c’est ça qui me reste. Un monde qui ne m’attend plus.
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