jeudi 3 octobre 2024

The Stanley Parable

 



Vous avez vous dejà identifier a un ou plusieurs personnages de jeux vidéos ? Dans mon cas, un des personnages qui rentrent dans cette liste est Stanley dans The Stanley Parable. Oui, un personnage qu'on ne voit jamais a quoi il ressemble. Mais, il s'agit de deux fins qui m'ont marquée et qui m'ont fait me poser mille et une question sur ma vie. 

The Stanley Parable est un jeu d'aventure narratif où le joueur incarne Stanley, un employé de bureau chargé d'appuyer sur des touches selon les ordres reçus sur son écran. Un jour, les commandes cessent d’arriver, et Stanley découvre que tous ses collègues ont disparu. À partir de là, le jeu propose une exploration dans laquelle un narrateur décrit ce que Stanley est censé faire. Le joueur peut suivre ou désobéir à cette narration, ce qui donne lieu à différentes fins.

Le jeu joue avec les concepts de choix, de liberté, et de contrôle, brisant régulièrement le quatrième mur pour commenter les actions du joueur. The Stanley Parable est reconnu pour ses multiples fins et son approche métanarrative qui interroge les limites du jeu vidéo en tant que média.

Je voulais vous partager deux fins qui m'ont marquer dans le jeu qui sont les suivantes : 

-  Suivre les ordres du narrateur

Dans cette fin, le joueur suit exactement les instructions du narrateur sans dévier de son chemin. Stanley se rend alors à la salle de contrôle où il peut désactiver un dispositif supposé contrôler l'esprit des employés. Après avoir désactivé cette machine, le narrateur félicite Stanley pour avoir pris le contrôle de sa vie et s'être libéré de l'emprise de la société. Stanley sort ensuite à l'air libre, symbolisant sa nouvelle liberté. C’est une fin optimiste où l’on peut considérer que Stanley a gagné en autonomie.

- S'enfermer dans son bureau

Dans cette fin, le joueur choisit de rester dans le bureau de Stanley plutôt que de suivre les instructions du narrateur ou d'explorer les autres options du jeu. Stanley ferme la porte de son bureau et ne fait rien d'autre. Le narrateur devient de plus en plus agité, essayant de convaincre Stanley de sortir. Cette fin symbolise le choix de l'inaction, où le joueur refuse de participer à l'aventure. Elle pose une question existentielle sur le sens de l'autonomie : Stanley peut-il réellement s’échapper, ou est-il condamné à rester dans une boucle répétitive, même en refusant de participer activement ?

Je pense que c'est mon côté fonctionnaire qui m'a fait aimer ces deux fins et qui m'ont fait encore plus apprécier, c'est sans doute une question existentielle qu'on se pose assez régulièrement dans mon secteur, que ce soit ce côté "je veux être autonome mais l'administration me limite" 

mercredi 2 octobre 2024

hatsune miku project mirai dx

 



J'ai adoré la 3DS, je passais des heures pendant les récréations au lycée dans des couloirs sans lumières et avec le son au plus bas pour si jamais un surveillant se rapprocher pour éviter de me faire prendre. Je suis aussi une fan des Vocaloid, a l'époque ou on cherchait des infos grâce a skyblog

Et que fut pas ma surprise en voyant qu'il y avait un jeu qui réunissait mes deux passions d'ado du début des années 2000 : Hatsune Miku Project Mirai DX. 

Hatsune Miku: Project Mirai DX est un jeu de rythme développé pour la console Nintendo 3DS. Il met en vedette Hatsune Miku et d'autres chanteurs virtuels Vocaloid. Ce jeu propose comme style de jeux :

    • Il propose des mécaniques de jeu de rythme classiques où les joueurs doivent appuyer sur les boutons ou l'écran tactile en synchronisation avec la musique.
    • Il y a deux styles de gameplay : un mode utilisant les boutons (pour les fans de jeux de rythme classiques) et un mode tactile (utilisant le stylet pour appuyer sur l'écran en suivant les notes).
    • Les chansons sont issues de la bibliothèque Vocaloid et incluent de nombreux titres populaires de Hatsune Miku et d'autres personnages Vocaloid tels que Rin, Len, Luka, et Kaito.
    • Le jeu adopte un style chibi, où les personnages apparaissent avec des proportions petites et mignonnes, créant une esthétique adorable.
Le jeu adopte un style Chibi, avec des personnages avec des proportions petites pour créer une esthétique mignonne, nous pouvons aussi personnalisé notre personnage avec des tenues, leur maison virtuelles, interagir avec les personnages du jeu.  Il y a aussi des mini-jeux proposé. 

Il y a 40 chansons qui sont proposer dans le jeu qui sont les suivantes : Ageage Again, Animal Fortune-telling, Arifureta Sekai Seifuku, 1/6 - out of the gravity -, Baby Maniacs, Bokura no 16bit Sensou, Cendrillon, Charles, Clover Club, Common World Domination, Deep Sea Girl, Doremifa Rondo, Dreaming Leaf, Electric Love, Finder (DSLR remix), Future Diary, Gigantic Girl, Happy Synthesizer, Hello, Planet, Invisible, Kimi no Taion, Luvoratorrrrry!, Matryoshka, Melancholic, No Logic, PIANO*GIRL, Shake It!, Skeleton Orchestra and Lilia, Smile, Smile Song, Stay With Me, Strobe Last, Super Galaxy, Tell Your World, Tricolore Airline, Viva Happy, World is Mine, Yellow, Yume Yume, Yukari

C'est un jeu qui plaira à la fois aux fans de jeux de rythme et aux amateurs de Vocaloid, avec une forte dose de mignonnerie et de personnalisation.


mardi 1 octobre 2024

Celeste

 



J'avais envie de vous parler de Celeste. Un jeu que j'ai découvert en 2021 et que j'ai refais en 2024 durant mes arrêts maladies. 

"Celeste" est un jeu de plateforme indépendant sorti en 2018, développé par Matt Makes Games. Il est acclamé pour son gameplay exigeant, son récit touchant et sa musique immersive.

L'histoire suit Madeline, une jeune femme qui entreprend de gravir la montagne Celeste pour surmonter ses propres difficultés personnelles, notamment l'anxiété et la dépression. Au cours de son ascension, elle rencontre différents personnages, comme Théo, un autre grimpeur sympathique, et surtout une version sombre d'elle-même, appelée Badeline, qui représente ses peurs et ses doutes. Cette version antagoniste la défie tout au long de son parcours.

Le jeu est centré sur la plateforme difficile, où le joueur doit maîtriser des mécaniques comme le saut, l'escalade et un dash aérien. Chaque niveau présente des défis de plus en plus complexes, avec une courbe de difficulté progressive, mais toujours juste.

Le thème principal de "Celeste" est l'acceptation de soi et la résilience face aux épreuves, avec une forte emphase sur la santé mentale. Le jeu propose également des niveaux cachés et des défis supplémentaires pour les joueurs en quête de difficulté.

J'ai adoré l'OST de ce jeu, l'histoire du jeu m'a parlé et le côté pixel art est magnifique ! Je vous conseille vraiment le jeu, malgré le côté difficile, vous pouvez utilisé un mode facile du jeu pour ceux qui veulent juste suivre l'histoire de Madeline.

Vous pouvez jouer sur n'importe quelle plateforme ! 

vendredi 27 septembre 2024

My hero academia

 

Auteur : Kohei Korikoshi
                        



Résumé : 

Dans un monde où 80 % de la population possède un super-pouvoir appelé alter, les héros font partie de la vie quotidienne. Et les super-vilains aussi ! Face à eux se dresse l’invincible All Might, le plus puissant des héros ! Le jeune Izuku Midoriya en est un fan absolu. Il n’a qu’un rêve : entrer à la Hero Academia pour suivre les traces de son idole. Le problème, c’est qu’il fait partie des 20 % qui n’ont aucun pouvoir… Son destin est bouleversé le jour où sa route croise celle d’All Might en personne ! Ce dernier lui offre une chance inespérée de voir son rêve se réaliser. Pour Izuku, le parcours du combattant ne fait que commencer !


Avis :

J'ai voulu recommencer la série, car j'ai commencé petit a petit a décroché ma lecture. Mais, j'avais totalement oublié que ce premier tome de la série été si prometteur ! 

Je suis conquise par se début de série, par le fait que le héros fasse partie des gens sans pouvoir mais qui rêve quand même de devenir un héros comme ceux qui peuvent un peu plus que lui a la base. Les dessins son très beaux également. A voir la suite si le manga continue a être sur cette bonne lancée ou pas. :)

lundi 23 septembre 2024

the binding of isaac

 


Je suis quelqu'un de très anxieuse. Pourquoi dire ça ? Parce que ça m'arrive très régulièrement que je n'arrive pas a dormir. C'est ainsi que j'ai connu The Binding of Isaac. 

Donc, The Binding of Isaac est un jeu vidéo de type roguelike, développé par Edmund McMillen et co-conçu par Florian Himsl. Il est sorti pour la première fois le 28 septembre 2011 sur la plateforme Steam.

Le jeu s'inspire de l'histoire biblique d'Isaac, où la mère d'Isaac reçoit un message divin lui ordonnant de sacrifier son fils pour prouver sa foi. Dans le jeu, Isaac s'enfuit dans le sous-sol de sa maison pour échapper à sa mère. Edmund McMillen, également connu pour son travail sur Super Meat Boy, a voulu explorer des thèmes personnels comme la religion, la culpabilité, et les traumatismes à travers une mécanique de jeu simple mais addictive. 

Le gameplay de The Binding of Isaac combine des éléments de roguelike et de twin-stick shooter. Le joueur contrôle Isaac (ou d'autres personnages déblocables) dans une série de niveaux générés aléatoirement, chacun peuplé de monstres, de pièges, et de boss. Le but est de progresser à travers des donjons souterrains, en éliminant des ennemis et en trouvant des objets qui améliorent les compétences du personnage.

Chaque partie est unique grâce à des niveaux et des objets générés de façon procédurale. Les objets trouvés peuvent modifier drastiquement la manière de jouer, affectant la santé, la puissance de tir, la vitesse, ou donnant des capacités spéciales. Le jeu est connu pour son style visuel distinctif, ses multiples références religieuses et son humour noir.

Au fil des années, The Binding of Isaac a connu plusieurs extensions et remakes, dont The Binding of Isaac: Rebirth (2014), qui a amélioré les graphismes et ajouté de nouveaux contenus. Les extensions, comme Afterbirth et Repentance, ont continué d'ajouter des mécaniques, des personnages, et des ennemis, enrichissant l'expérience de jeu.

Avec sa difficulté élevée, ses possibilités infinies de combinaisons d'objets et sa rejouabilité, le jeu est devenu un titre culte dans le monde des jeux indépendants.

J'aime beaucoup ce jeu pour sa rejouabilité justement. C'est frustrant par moment, mais ça donne envie de relancer encore et encore ce jeu pour pouvoir allez plus loin. Et surtout, il n'y a pas de même donjon vu que c'est générer aléatoirement. 

Bref, même si je n'arrive pas a allez bien loin, j'adore ce jeu ! Mais, a ne pas mettre entre toutes les mains car il y a un côté très crado et avec du sang. 

samedi 7 septembre 2024

Le déserteur

 

★ ★ ★  ★ 

Auteur : Ito Junji 



x Histoire :

Un déserteur se terre dans le grenier d’une famille qui lui cache une terrible vérité, une jeune secrétaire se rend dans la villa de son patron pour prendre part à un horrible festin, un écrivain débutant craint de se faire remplacer par le double maléfique qui peuple ses cauchemars, des centaines de nourrissons à travers tout le pays sont mystérieusement enlevés toutes les nuits…

Laissez-vous envoûter par le chant de la mort et du sang en découvrant douze des toutes premières nouvelles de Junji Ito, qui posent ses premiers jalons de maître sur la scène de l’horreur.


x Avis :

Il s'agit donc d'une succession de nouvelle d'horreur. Il y en a 12 comme précédemment cité.  Il faut savoir que j'ai toujours été attiré par l'horreur sous toutes ses formes (audio, vidéos, film, texte, jeux vidéos, mangas...). Et Ito Junji est connu pour écrire dans l'horreur. Je suis donc allée comme une grande au furet du nord, j'ai acheté ce manga et j'ai commencé a lire. Un point fort que je considère comme aussi un point faible : les nouvelles sont courtes. Dans le sens ou c'est un point fort car on se concentre juste sur l'horreur, mais on a pas le temps d'avoir une ambiance qui s'installe. Mais, c'est du détail. Les nouvelles sont assez bien pensée et les planches bien découpé ! 


Mais, vous vous doutez : si il y a de l'horreur, il y a de la violence très graphique. Donc, si vous n'êtes pas très horreur, passez votre chemin ! 

jeudi 5 septembre 2024

Platinum ends : tome 1

 ★ ★ ★  ★ 

Scénariste : Tsugumi ohba Illustrateur : takeshi obata




x Histoire : 

Mirai, un jeune homme qui a perdu tout espoir en la vie, décide de se suicider en se jetant du haut d’un building. Mais, juste avant qu’il ne touche le sol, un ange, appelé Nasse, le rattrape au vol et lui sauve la vie. Elle lui o re alors la possibilité d’obtenir de puissants pouvoirs, promesses d’une vie meilleure... Mais en acceptant, Mirai découvre qu’il participe désormais à une compétition mortelle...


x Avis
Je l'avais lu le jour de sa sortie en France, car "c'est les même auteur de Death note", la jeune Shobatsu de 18 ans avait été un peu déçue de sa première lecture et avait revendu le tome 1 sans allez plus loin. Et, au détour d'un rendez vous, avec une personne avec un t-shirt death note, nous avons parler de manga et surtout Death note, et il m'avait dit qu'il avait aimé Platinum End. Et je me suis dit why not pour m'y remettre. J'ai lu ce premier tome.

J'ai bien aimé comment ils ont mit en scène le premier tome ! On a bien ce côté "désespéré" du héros, puis nous comprenons très vite le but qui est confier au héros (but donné contre son gré...) : prendre le "poste" de Dieu !